En France des patients atteints du virus commencent à être sacrifiés

Certains patients atteints du virus seraient écartés et « sacrifiés » à cause du manque de place. Juan Branco, avocat de 30 ans et auteur de Crépuscule, a publié sur Twitter un document qui fait froid dans le dos.
Un sacrifice rendu public
Le 25 mars, l’avocat publie sur son compte Twitter ce document sur lequel on peut lire : « En raison du contexte actuel, de l’absence de place en réanimation et en raison de l’âge de 75 ans du patient, il est décidé de l’absence de recours à des manœuvres de réanimation ».
Il mentionne que « contrairement à ce que le gouvernement raconte, des patients en bonne santé sont déjà 'sacrifiés' en Île de France. Je pense que c'est le premier document de cette sorte qui est rendu public. Il m'a été transmis par un médecin de l'APHP ».
L APHP est l’assistance publique Hôpitaux de Paris. C’est l'institution publique de santé française, ou le centre hospitalier de la région l'Île-de-France. L’APHP compte plus de 100 000 employés, dont le personnel médical et paramédical, et agent du service public.
Juan Branco s’insurge contre Macron et son gouvernement de ces décisions de santé.
Une décision qui aurait été selon Juan Branco, prise collégialement alors que le patient n’a pas eu le temps d’être testé au Covid-19. Il atteste que ces éléments ont été vérifiés. Il s’alarme sur la fragilité de la démocratie et demande des comptes aux dirigeants.
Selon lui, l’échec de la politique hospitalière budgétaire va se payer cher.
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