Pascal Robaglia fait un début peu commun dans le milieu de l’art

Pascal Robaglia fait un début peu commun dans le milieu de l’art
Du haut de ses 64 ans et de ses quelques années d’expérience en tant que galeriste, Pascal Robaglia a l’œil pour dénicher des œuvres d’art, c’est pour cette raison que ses clients lui font confiance.

Même s’il n’avait pas suivi un cursus qui lui a permis de devenir galeriste ou un expert de l’art, sa passion ainsi que sa conviction lui ont permis de devenir un incontournable en matière d’œuvre d’art, surtout en France.

Sa maison / galerie demeure une adresse très connue aussi bien sur tout le continent qu’Outre Atlantique et même en Asie. Ses clients s’éparpillent à travers le monde, et ce qui le diffère des autres galeristes c’est qu’il entretient une relation privilégiée avec chacun d’entre eux, c’est ce qui fait son succès. Il est contacté par des galeristes de renoms mais aussi des collectionneurs chevronnés pour la vente et l’achat d’œuvres uniques.

L’art c’est sa passion et son gagne pain, mais il ne se limite pas uniquement à l’univers artistique pour prouver sa dextérité, il mise également sur les sports de l’extrême. Cela lui a permis de forger un caractère de fer et un mental d’acier, des indispensables pour se démarquer de la concurrence.

L’envie de réussir, le feu qui a animé le début

Il faut reconnaître qu’à ses débuts, pascal robaglia ne disposait pas d’un fonds propre pour débuter une activité professionnelle en devenant son propre patron. Lui et sa famille vivaient de l’allocation chômage. Cependant, grâce à son imagination il a su profiter de sa penthouse qui se trouvait à Neuilly ainsi qu’une collection de tableau assez valeureuse.

C’est là qu’est née l’envie de devenir galeriste même si c’était pour attendre les jours meilleurs. C’était un hasard lorsqu’il a voulu exposer ses tableaux dans le but de les mettre en vente. Une activité qui est débuté via l’assistance de son épouse, Sylvie Robaglia.

Comme sa femme travaillait dans une société de communication suisse, les publicités étaient effectuées de manière très professionnelle. Mais, le galeriste français ne se contenta pas de cette seule publicité, il s’est également offert un encart publicitaire dans Le Figaro pour susciter l’intérêt des amateurs d’art dans sa galerie situé à Neuilly.

Comment il a su gagner le cœur des amateurs d’art ?

Son honnêteté et son charisme ont certainement joué à son succès. En effet, tout comme il le raconte, lorsque son premier client lui avait demandé l’école d’un des auteurs qu’il présentait, il n’avait rien trouvé que son frigo, d’où la naissance de l’école de frigo. Après les premières ventes, la maison galerie de Neuilly était devenue une adresse que tous les passionnés d’art se partage.  

L’ambiance feutrée qu’avait sa maison de Neuilly avait aussi contribuée à cette ascension puisque le décor du paysage avait permis de donner une autre touche au tableau, contrairement à l’ambiance glaciale rencontrée dans les salles d’expositions des galeries à cette époque. Les gens se donnaient rendez-vous pour dénicher des œuvres uniques dans cette maison.

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